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Dav'Label : Tout l'univers de la communication chez vous

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30 septembre 2010

ANIMATION DE SPECTACLES




Tout le monde mérite sa fête
...

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30 septembre 2010

HADJ 2009: Une édition inoubliable



Les images seront bientôt en ligne

30 septembre 2010

NOS PARTENAIRES SONT TOUS ICI


  • LE COGITO PLUS (Maquis-Bar Soft)

  • DISCOTHEQUE LA NOCHE

  • N'SPIRIT


Cette liste n'est pas exhaustive, notre équipe travaille à l'enrichir.

Le coordonnateur des relations extérieures

30 septembre 2010

Animation de spectacles

vlcsnap_194934 C'est le moment de faire la fête, mais comment ?

Trop simple Dav'Label COM vous offre toute son expérience en matière d'animation et d'action culturelle.

Pour créer la joie, l'ambiance, célébrer la vie, Quoi de plus adéquat que de faire appel à des professionnels de la joie.

Pensez alors : Si Dav'Label est présent chez vous, l'ambiance, la joie, le rythme aussi.

Pas besoin de payer le transport pour nous avoir chez vous : Votre écran d'ordinateur a la solution, Regardez juste en haut à droite, il y a l'onglet "Contactez-nous".


Au revoir et rendez-vous au temple de l'ambiance chez vous.

Dav'Medio, Be Better Forever

Soyons toujours meilleurs.

30 septembre 2010

Le Musée des civilisations de Côte d’Ivoire : Toute la Côte d'Ivoire à Grand-Bassam

Nouvelle_image

Dénommé Centrifan, centre artisanal depuis 1942 sous l’initiative du gouverneur Hubert Deschamps, il prend le nom de centre des sciences humaines de 1960 à 1972, de musée national d’Abidjan en 1972 puis de musée des civilisations de Côte d’Ivoire en 1994 sous l’impulsion du Pr. feu Georges Niangoran Boa. Depuis mai 2006, le Musée des civilisations de Côte d’Ivoire (Mcci) est dirigé par Silvie Memel Kassi qui en sa qualité de directrice de la Fondation Tapa pour les Arts et la Culture avait une idée des défis auxquels elle devrait faire face d’autant plus l’un des objectifs de cette fondation est le renforcement des capacités des musées. A cet égard, dès septembre 2006, une politique de redynamisation nommée « la nouvelle vision » a été mise en place « pour bousculer les ivoiriens dans leurs habitudes parce que la visite au musée n’est pas inscrit dans les programmes de sorties des citoyens ». De cette politique est née une nouvelle exposition permanente avec pour thème « identité culturelle et brassage des cultures ». Ce thème tire son originalité du fait de la pluralité des cultures existantes en Côte d’Ivoire reflétant ainsi une Côte d’Ivoire en miniature avec toutes ses régions. « L’ancienne exposition datant de plus de 12 ans et ne répondant plus aux normes, les ivoiriens étaient las de voir les mêmes choses » avoue la responsable conservatrice de ce musée. La salle d’exposition est subdivisée en cinq sous thèmes dont la Côte d’Ivoire sous l’éclairage de l’archéologie. Il s’agit de l’exposition des objets et traces laissés par les civilisations du passé. L’organisation socio économique de la Côte d’Ivoire est l’intitulé du second espace. A ce niveau, la vie quotidienne des peuples de Côte d’Ivoire avec leurs outils de travail tels que la machette, la houe, la fonte bronze est mise en exergue mais également, l’exposition de la monnaie utilisée depuis plusieurs décennies. Le visiteur du troisième espace est plongé au cœur de l’organisation sociale et politique du temps de la colonisation, du temps des pratiques sociales ou valeurs traditionnelles ivoiriennes et du temps du pouvoir traditionnel. Il fera la connaissance des objets de cultes et de croyances religieuses comme les masques et la poterie dans le quatrième compartiment du mussée. Les contemporains trouveront leur compte au cinquième niveau avec la vie contemporaine qui consiste en une exposition d’objets modernes et traditionnels. 10.900 objets composent la collection du Musée des civilisations de Côte d’Ivoire qui est un musée ethnographique, archéologique, iconographique ; un musée d’art ancien. La plupart de ces objets sont constitués de matériaux organiques, fait à base de bois, d’os, et de peaux. D’où un traitement spécifique au plan de la conservation. Pour ce faire, dans le cadre d’échanges, une mission d’experts du Musée du Quai Branly en France viendra donner une formation dans la conservation préventive et curative des pièces. Le Musée des civilisations de Côte d’Ivoire c’est également une politique spécifique de cooptation de tous les publics pour sa promotion. A cet effet, pour la première fois, un ambassadeur a été désigné pour vendre cette destination. Et c’est l’ex Directeur Général du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (Cepici), actuel administrateur de la Bad pour la Côte d’Ivoire, Tchétché N’Guessan, qui occupe ce poste. Son concours a donc permis au Mcci d’obtenir des financements. Un Club des amis du musée a été mis en place pour semer dans les esprits la prise en compte de l’aspect culturel dans la vie des ivoiriens et personnes vivants sur le territoire ivoirien. Les ivoiriens de la diaspora sont également membre de ce club. « Cette action de bénévolat en faveur du musée national de Côte d’Ivoire mérite que tous la fasse sienne pour présenter l’identité du pays » indique Silvie Memel Kassi. Aussi, attache a-t-elle été prise avec le Ministère de l’éducation nationale pour inscrire la visite du musée dans les programmes scolaires. A cette fin, des conférences et des séances de sensibilisation sont organisées dans les établissements qui depuis lors, se bousculent tous les mercredis et samedis pour faire connaître à leurs pensionnaires l’identité culturelle de leur pays. Les ambassades, les instituions, et les entreprises qui ont été également sensibilisées ne ménagent aucun effort pour s’offrir un pan de leur histoire commune faisant passer le taux de fréquentation de 2000 visiteurs par an, à 6000 visiteurs à la fin 2006 et à 14.000 visiteurs en 2007. Ce qui bien entendu a eu un écho favorable auprès des autorités ivoiriennes qui ont eu une oreille attentive aux doléances des nouveaux responsables du Mcci vue l’énorme travail abattu en si peu de temps. C’est en cala que le budget alloué à cette institution qui stagnait à 09 millions Fcfa est passé à 32 millions Fcfa en 2007 pour atteindre la barre des 85 millions Fcfa en 2008. Toutes les régions de Côte d’Ivoire, n’étant pas ou étant peu représentées au sein de l’exposition permanente, un projet de collecte d’objets a été entamé pour palier cette carence représentative. Cela a permis en 2007 de ramener 371 objets de la région de la Marahoué et des lagunes aux fins de renforcer le fonds de ce musée qui depuis 50 ans n’a pas connu d’acquisitions. Une mission en collaboration avec le département d’archéologie de l’Université d’Abidjan est dans la région de Lozoua (Jacqueville) pour une acquisition de pièces archéologiques parce que « celles que nous avons sont muettes. Nous entendons par le biais de cette mission renforcer le fonds et donner une datation aux pièces déjà présentes ». Une journée culturelle de la jeunesse sera organisée dans le mois de mai prochain avec le concours des chefs d’établissements et Présidents d’Universités et la création d’un site web est en cours d’exécution. La politique de redynamisation et de relance du Mcci est donc en marche pour faire de ce musée une véritable représentation de l’identité culturelle ivoirienne. « Le moment pour nous est venu d’entrer en relation avec d’autres entreprises et d’autres institutions pour être plus répondant afin que tout le monde consomme la culture » précise la responsable du Mcci.

Francis Yedan

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30 septembre 2010

M'POUTO-VILLAGE ET SES ESPACES PUBLICS : Aperçu d'un regard anthropologique

23_06_10_1420La recherche sur les représentations sociales présente un caractère fondamental et fait appel à des méthodologies différentes : analyse de discours, enquête par entretien…Elle touche à des sujets et des objets divers.

 


 

Notre sujet est intitulé « construction sociale et protection des espaces publics en milieu urbain abidjanais : cas de M’pouto-village ». En effet, des récents travaux ont sans doute contribué significativement à une meilleure appréhension du phénomène d’occupation et d’appropriation de l’espace public urbain abidjanais mais les difficultés de la planification urbaine abidjanaise autorisent à postuler que les politiques devraient porter sur des aspects non encore élucidés en l’occurrence le lien entre les représentations sociales et la protection des espaces publics. Le présent mémoire se situe dans une telle perspective.

 

Notre étude s'articule autour de trois axes :

 

Dans la première partie, il s'agit pour nous d'exposer le cadre théorique et méthodologique sur lequel s'appuie notre recherche.

 

Ensuite, dans la seconde partie, nous passons à la présentation du champ de l'étude (le village de M’pouto). Cette présentation permet à nos lecteurs d'avoir une idée du champ de l'étude en vue d'une meilleure compréhension de notre préoccupation et de notre choix.

 

Enfin, nous présentons les résultats de notre recherche en nous appuyant sur le cadre théorique, le modèle d'analyse.

Modeste ADINGRA

Etudiant en DEA de Sociologie de l'environnement

30 septembre 2010

Aperçu d'un article sur l'orpaillage à Hiré

Hiré ou le rendez-vous inespéré avec l'orpaillage

 

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Dans cette étude, portant sur les modes d’occupation des ressources foncières dans les exploitations agricoles et aurifères, nous avons voulu porter une réflexion comparative dans une perspective de développement sur les modes d’accès à la terre dans les économies agricole et aurifère et surtout faire ressortir toutes les dimensions socio-anthropologiques relatives à l’ampleur que prend le phénomène d’orpaillage clandestin dans la Commune de Hiré.

Il s’agissait, plus précisément pour nous d’identifier à travers une telle investigation, les différents modes d’accès à la terre pratiqués dans les deux types d’économies concernées ; également de comprendre les facteurs déterminants l’insertion des populations dans cette activité et d’évaluer enfin l’impact de cette activité clandestine en étroite relation avec le secteur agricole aux plans politique, économique, social, culturel et environnemental.

 Pour atteindre de tels objectifs, nous avons opté pour une hypothèse principale et deux hypothèses secondaires :

La première est relative aux arrangements institutionnels pratiqués dans l’activité d’orpaillage et aux différents rapports entre les divers acteurs de cette activité dans la Commune de Hiré qui favorisent les modes d’occupation des terres dans les exploitations aurifères.

Les deux hypothèses secondaires quant à elles se focalisent sur les divers rapports entre les acteurs des économies minière et agricole d’une part ; et d’autre part les représentations de l’exploitation de l’or chez les acteurs locaux qui favorisent et entretiennent le regain de vitalité de cette activité clandestine à Hiré.

 Au terme de notre étude,  il ressort que l’activité d’orpaillage est davantage pratiquée par des immigrants tant allochtones venus du Nord de la Côte d’Ivoire qu’allogènes ressortissants du Burkina, du Mali, du Niger et de la Guinée.

Ces principaux acteurs sont en général des analphabètes, plus vulnérables économiquement, dans une zone où les terres cultivables deviennent de plus en plus rares. Les exploitations aurifères comptent davantage d’orpailleurs occasionnels et l’ensemble des orpailleurs pratiquent, sous le regard silencieux des autorités administratives, en complicité avec les propriétaires terriens et les collecteurs de redevance la location des parcelles, mode d’accès à la terre prédominant dont les modalités pécuniaires varient d’un site à un autre.

Les orpailleurs s’adonnent en effet à cette activité clandestine en fonction des représentations qu’ils ont de l’orpaillage qu’ils considèrent comme synonyme de « l’argent rapide ». Les modes d’accès à la terre leur étant plus favorables, les orpailleurs préfèrent s’engager dans une telle activité malgré sa clandestinité.

En plus, la rentabilité économique de cette activité renforce davantage les attitudes des orpailleurs. Pour ces derniers, l’agriculture offre certes de meilleurs revenus mais la quotidienneté des revenus issus de l’extraction aurifère les captivent plus encore. Ils projettent l’arrêt de cette activité clandestine sans pour autant évoquer des raisons objectives ; ce qui tend donc à ne pas envisager un tel scénario pour les prochaines années.

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 Soulignons également que cette activité a des répercussions sur les plans économique, social, culturel et environnemental. D’abord, le développement anarchique du secteur aurifère influe sur le coût de la vie à Hiré, encore plus avec la présence de la compagnie minière industrielle LGL Equigold CI. En effet, les prix pratiqués semblent connaître une relative hausse. Ensuite, les communautés vivant à Hiré se reprochent au fil du temps les impacts négatifs de l’exploitation aurifère dans la zone, et les multiples conflits fonciers qui éclatent, sans cependant prendre autant l’ampleur d’une violente crise foncière. Ces impacts sont entre autres les pénuries relatives de denrées alimentaires sur le marché, l’insécurité grandissante, les tensions sociales entre paysans et orpailleurs du fait du creusage des filons qui outrepassent les limites requises. Enfin, il faut noter que l’orpaillage clandestin tant à détruire le potentiel agricole et fertilisant des sols à cause des nombreux puits et fosses non réhabilités après l’exploitation aurifère.

 Après sept années de crise, la Côte d’Ivoire commence à renouer avec les investisseurs extérieurs dont la compagnie minière LGL Equigold CI, qui exploite des gisements aurifères dans la zone de Hiré. Néanmoins l’activité clandestine à laquelle se livrent les orpailleurs pourrait freiner les actions économiques avantageuses dont pourraient profiter les populations de cette commune. De ce fait, cette activité mérite d’attirer davantage le regard des décideurs pour qu’elle soit freinée et d’être encadrée en vue de faire profiter les retombées à l’ensemble des populations et d’éviter une catastrophe alimentaire et écologique à Hiré.

L’économie minière, désormais l’un des piliers essentiels de l’économie ivoirienne, devrait apporter une amélioration dans les conditions de vie des populations de la Commune de Hiré, et non les inscrire sur le chemin d’une simple croissance économique éphémère mais plutôt dans une perspective de développement local durable. Ce travail de recherche pourrait nous permettre d’ouvrir une perspective nationale quant aux différents modes d’accès à la terre pratiqués dans les localités, où l’économie minière clandestine subsiste encore.

Hamed LASSI

Doctorant Chercheur en socio-anthropologie du développement économique et social

Analyste des questions foncières rurales et des questions de développement participatif

30 septembre 2010

Prenons toujours le temps d'échanger au téléphone



Vous pouvez contacter les membres de Dav'Label COM au:

(+225) 24 39 03 54 / 65 05 14 02

Toutes vos suggestions nous intéressent car elles sont constructives pour nous.

30 septembre 2010

PETITE ASTUCE DE COMMUNICATION

Une technique de communication très simple à utiliser.


Elle est très simple à mettre en œuvre : lors d’une discussion, il suffit de répéter les derniers mots de votre interlocuteur sur un ton interrogatif. Et c’est tout. Voici un exemple librement adapté d’une discussion en soirée :

- (Un pote) Salut !
- (Moi) Salut ! (ça n’a pas encore commencé)
- Tu sais que je suis allé voir le dernier Harry Potter hier ?
- Harry Potter ? (C’est parti)
- Oui, je suis allé au cinéma avec Germaine, on s’est bien amusé, et ensuite, on est allé prendre un pot avec des amies à elles.
- Des amies ?
- Oui, on avait rendez vous avec elles après la séance. On a testé ce nouveau bar qu’ils ont ouvert, tu sais ?
- Un bar ?
- Purée ! Tu verrai le prix des consommations, c’est monstrueux !
- Monstrueux ?
- etc.

Note : Désolé pour cet exemple pathétique, je n’ai rien trouvé de mieux.

Quoiqu’il en soit, vous pouvez faire durer la conversation trés longtemps comme ça. Avec un peu d’entraînement, vous pourrez faire parler quelqu’un pendant des heures presque sans dire un mot. L’avantage, c’est que cette technique ne met personne mal à l’aise, comme le ferait la technique du silence-radio. Seul risque : l’autre aura trés vite l’impression (justifiée ?) que vous vous payez sa tête.

30 septembre 2010

Côte d’Ivoire / cantines scolaires : Vingt ans de soutien à l'éducation

              

 

On vient de toute la sous région pour voir les cantines scolaires en Côte d’Ivoire. Une école sur deux possède sa cantine. Mais le pays faisait mieux avant la guerre.

Qu’on ne s’y trompe pas : à l’heure du déjeuner, bon nombre d’enfants ne peuvent payer le prix si modique du repas : 25 CFA, soit moins de 4 centimes d’euros. Le système est bien huilé, ceux qui n’ont pas payé le matin, quittent la classe pour le repas.

Par ailleurs, sur 90 jours d’école en moyenne dans l’année (en comptant les grèves d’enseignants etc…) les enfants ne se voient proposer qu’une quarantaine de repas. Alors que fait-on le reste du temps ? On rentre chez soit et on oublie de revenir à l'école l'après-midi?

Le Programme Alimentaire Mondial  pourvoit à 60% des cantines. Mais les bailleurs sont tentés par un désengagement.

Il manque donc de la nourriture et une bonne gestion pour que les cantines en Côte d’Ivoire fonctionnent normalement.

SOURCE RFI

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